Etre jeune

Publié le par aben

Petit ajout du 10 avril  : Micheline nous a déposé un commentaire qui me semble à découvrir.  Je suis de ceux qui pensent qu'aucune vérité n'est à taire, bien au contraire. Ce n'est souvent que grâce à la vérité des autres qu'on  affiner la sienne...
Quant à ce qui pourrait-être "vérité universelle", peut-être ne faut-il pas trop rêver.
Très bonne semaine à tous les passants

Pas de moi mais ça aurait pu...
Le Général Mac Arthur nous a laissé un mot dont chacun de nous, qui souhaiterait vivre heureux, a peut-être intérêt à s'inspirer, quelque soit son âge. Je vous transmets son secret :

ETRE JEUNE !
La jeunesse n'est pas une période de la vie, elle est un état d'esprit, un effet de la volonté, une qualité de l'imagination, une intensité émotive, une victoire du courage sur la timidité, du goût de l'aventure sur l'amour du confort.

Jeune est celui qui s'étonne et s'émerveille. Il demande, comme l'enfant insatiable : et après ? Il défie les événements et trouve de la joie au jeu de la vie. 
 
Vous êtes aussi jeune que votre foi. Aussi vieux que votre doute. Aussi jeune que votre confiance en vous-même. Aussi jeune que votre espoir. Aussi vieux que votre abattement.

Vous resterez jeune, tant que vous resterez réceptif. Receptif à ce qui est beau, bon et grand. Réceptif aux messages de la nature, de l'homme et de l'infini.

Si un jour, votre coeur allait être mordu par le pessimisme et rongé par le cynisme, puisse Dieu avoir pitié de votre âme de vieillard.

Hormis pour ceux que le mot "Dieu" contrarierait, qu'ils pourront, selon leur foi, remplacer par un autre, tout me semble à conserver dans ce discours de sage.
Peut-être y aurais-je ajouté qu'être jeune, c'est aussi  ne pas s'apitoyer sur son âge. Ne pas craindre, quelqu'il soit, le lendemain qui vient. Mais n'est-ce pas déjà dit dans les mots de l'auteur...?

Très bonne semaine à vous.
La nôtre sera consacrée à nos deux petits-enfants, enfants des villes en vacances en campagne.
Petits mais déjà grands : 14 et17 ans


Publié dans Portraits

Pour être informé des derniers articles, inscrivez vous :
Commenter cet article
A
je pense que c'est un très bon résumé.<br /> bonne journée<br /> arielle
Répondre
M
Avant notre escapade pendant le dernière semaine de vacances scolaires vers un bas débit souvent capricieux, je t\\\'en souhaite une autre aussi féconde que la première pour  grands et moins grands..<br /> je voulais te dire aussi que les petits caractères sur ton blog dont je me plaignais  m\\\'incombent tout à fait.,il suffit que je programme chez moi sur "affichage" une police convenable . bête comme chou  hein?<br />  par contre je ne sais toujours pas pourquoi un texte tapé sur word sans interligne et transporté sur un comment se retrouve avec des espaces considérables et prétencieux!!!!<br /> gros bisous à partager en famille....de micheline.
Répondre
M
bonne fin de semaine André !
Répondre
A
M
La jeunesse a beau être un état d'esprit, le physique nous rappelle souvent à l'ordre...<br /> Bonne journée
Répondre
M
André, je savais bien que tu ne manquerais pas d’apporter des arguments, en faveur de ta thèse et on est au moins d’accord sur ce point qu’on est encore loin d’une vérité universelle  s’il doit y en avoir une, et que chacun avec les moyens dont il dispose ne la détient surtout pas ,.mais que la pensée des autres nous permet d’affiner la nôtre et pardonne- moi si j’ai parfois des réactions impulsives un peu agressives quand ça me tient à cœur ( pas complètement vieille ??)  <br />  <br /> <br />  La méthode Coué , je connais . Avec tous les prolongements, et associations qui en dérivent ou s’y rattachent ?:sûrement pas !, pas suffisamment  pour pouvoir justifier la grande méfiance que j’en ai.<br />  <br /> <br />  Je crois pouvoir dire qu’elle se rattache à un courant de pensée et de recherche, relatif à la conscience, dont le premier objectif fut et est de soulager certains malades mentaux, comme ce fut et c’est encore le cas de la psy analyse et ses multiples courants. Dans la foulée, les médecins, confrontés aux simples « maux » de vivre, qui se sont aggravés dans nos sociétés modernes, ont cherché comment porter remède  au stress,  à ces maladies dépressives dont souffrent tant de personnes parce que  il n’y a pas d’une part les malades et ceux qui ne le sont pas  mais tout une gamme de gens plus ou moins heureux ou malheureux  ce qui entraîne asthénie ou agressivité ..et qui du point de vue social ou individuel est fort dommageable.<br />  <br /> <br />  Cependant ces recherches ne sont pas nouvelles et chaque civilisation, chaque époque a plus ou moins proposé  des remèdes.(philosophies  athées ou religieuses)<br />  <br /> <br />  La religion dans le meilleur des cas en fut un et elle a joué son rôle,  apaisant souffrances, stimulant l’espoir  d’un monde meilleur, d’un autre monde, d’une autre justice avec ses deux composantes : l’acceptation, la consolation, la force de vivre mieux  ses petites et grandes misères et de l’autre une certaine paix sociale qui repose sur l’acceptation des hiérarchies établies., d’un modèle de société donné. (Faire aussi la nuance entre églises et religion) Ex :  « Ce n’est pas un déshonneur d’être pauvre, au contraire. Il faut qu’il y ait des riches et des pauvres  comme cela a toujours été  etc… »…ce n’est certes pas un déshonneur mais un désavantage, une injustice et on ne choisit pas le milieu où on naît.<br />  <br /> <br /> Ce qui me semble relayer cette fonction d’apaisement, c’est ce courant spiritualiste, qui à partir de l’étude de la conscience, du conscient- plus ou moins scientifique-, dérive vers des pouvoirs plus ou moins occultes avec tous les abus et dangers que cela représente.<br />  <br /> <br /> On voit fleurir la pensée positive partout, c’est la grande mode  y compris dans les sectes les plus diverses qui replacent l’individu au centre de pouvoirs quasi magiques pour la conquête de son bonheur :  <br />  <br /> <br /> Depuis le slogan publicitaire : « elle est pas belle la vie ? »jusqu’au « dormez je le veux »l’individu est mis en condition ou se met lui-même en condition  de croire et de faire ce qu’il croit pouvoir faire .Je pense que Bush  ou autres grand décideurs ont beaucoup de pensées positives,que les kamikaze aussi et que cela les rend fiers et heureux<br />  <br /> <br /> Je pense aussi qu’il y a  beaucoup de personnes pleines de bonne volonté qui ne pensent pas qu’à leur propre bonheur, qui veulent aider les autres par ce chemin,.je rencontre en ce moment sur quantité de blogs amis, une certaine Rosie qui distribue une bonne parole..à tout un chacun et qui n’a rien à voir avec une autre Rosie du Québec qui s’exprimait sur les ondes avec le plus grand prosélytisme religieux…ces jours derniers et je ne parle pas de toutes ces sectes qui pullulent et autres témoins de Jéhovah. Je me méfie de ces soi disant pouvoirs spirituels ou de la pensée positive.<br />  <br /> <br />  En recherchant de la doc sur la sophrologie je relève ceci : Sophrologie    «  Le deuxième degré  se veut une étape contemplative, ouverte à l'imagerie mentale, dans le but de mettre en évidence la séparation entre le corps – limité – et la conscience – théoriquement illimitée. ……….. empruntent à la méditation et plus particulièrement à la méditation zen, la conscience enveloppant le corps, puis donnant l'accès au monde, aux autres et à l'espace-temps(11)……………..La vraie distinction ( entre différentes sophrologies).. sans qu'il soit question de divergence, opposerait plutôt :une sophrologie orthodoxe, représentée par un certain nombre de centres réputés ; et une sophrologie oecuménique, autour de<br /> la Société<br /> française de Sophrologie et de l'Institut de Sophrologie ». (ceci est n’est qu’un petit truc en passant sur tout ce que j’ai recherché)<br />  <br /> <br />  Bon je n’ai pas toutes les données connues du nombre de personnes qui par auto suggestion, ou auto hypnose ont réussi à triompher  d’une dépression ou autres petits bobos , du nombre de personnes qui se sentent confortés par une psy analyse( au long cours,  parfois toute une vie - luxe si gratifiant de tant de nantis de notre société)<br />  <br /> <br /> Mon intuition, plutôt que certitudes bien étayées est que  même si la pensée a un pouvoir  sur le corps elle est d’abord liée  à un équipement physique en bon état, non seulement des muscles mais des cellules nerveuses qui la prennent en charge et qu’il faudrait repenser les processus de la pensée en commençant par  tout ce qui est ce que les anciens appelaient les humeurs ( pourquoi est-on de mauvaise humeur ?, mal digéré ou pensée négative,, ? ……..ou gènes malveillants.. ?<br />  <br /> <br />  En somme il me semble que le plus urgent à dire ou penser c’est que si les conditions physiques et sociales des individus s’amélioraient vraiment un pourcentage important de gens n’auraient pas à s’auto suggestionner pour se sentir heureux  ou avoir recours aux psy  et autres coaching  pour se sentir à l’aise dans la vie ou triompher de dépressions Il y aura encore des malades à soigner  physiquement et mentalement , des rabat- joie et des hypocondriaques  mais la sécurité sociale y trouverait sans doute son compte  et la paix sociale aussi<br />  <br /> <br />  Donc André on ne se place pas sur le même plan et peut-être que notre approche du problème est en partie complémentaire.<br />  <br /> <br /> Et pour ne pas  clore le débat, et rester sur un peu d’humour, une petite question : quand tu dis : je me sens bien quand j’ai des pensées positives, ne pourrait-on renverser les attendus et dire quand j’ai des réserves d’énergie pour affronter les difficultés  j’ai des pensées positives ?.<br />  <br />
Répondre