Des pièges tendus par la langue...
Précisons d'intentions
Sont toujours aussi difficiles d'emploi les mots qu'on trouve dans les dictionnaires.
Entre ce que je crois dire et ce qu'on croit entendre un monde de sourds muets se cache comme sous des tentes...
Je vais essayer ici de répondre à quelques questions que d’aucuns se sont posées à propos de mes nounours de collection et du diplôme.
Déjà, il faut savoir qu’il y a copie et copie. La copie contrefaçon, punie par la Loi, est une copie voleuse. Certaines copies d’anciens sont de nobles copies.
De plus, ici, il ne faut pas voir des copies, mais des rééditions.
Le modèle présenté fut créé par mon père, dans les années 20.
Je l’ai réédité dans la continuité de l’entreprise, sur le même patronage et dans les mêmes matériaux, à la demande de collectionneurs.
J’espère qu’ils y ont trouvé ce qu’ils souhaitaient y trouver…
Il y a comme ça, dans le petit monde du jouet, des collectionneurs, plus ou moins spécialisés : en petits trains, poupées, automates ou petites voitures… et naturellement en jouets bourrés, terme qui désigne toujours, chez eux, ce qu’on appelle aujourd’hui plus communément : le jouet en peluche…
Quand au diplôme, il justifie l’origine de l’entreprise.
Il s’agit de la remise d’une médaille de bronze par le Concours Lépine, datée de 1920, au créateur de « jouets en tissus bourrés » qu’était déjà mon Papa…
Avant 1914, ce type de jouets vendu en France venait le plus souvent d’Allemagne, quelquefois d’Angleterre.
De 1914 à 1918, entre la France et l’Allemagne, les échanges ont été différents.
Dès la fin des hostilités, Emile Thiennot, ancien bourrelier, sachant manier l’aiguille et les ciseaux, créait son petit atelier dans le village.
L’affaire était lancée.
PS : Cette note est un copié-collé préparé sur Word.
Encore une fois, je suis en panne d’ADSL chez AOL.
Je passe donc par mon bas débit de secours de chez Cégétel, mais c’est tellement long que je ne peux guère dialoguer qu’ici…
Et chez AOL, toujours le disque qui me demande de rappeler plus tard !