Interlude présidentiel
C'est pas parce que c'est sérieux qu'il faut pas faire d'humour...
Ca y est, le petit Nicolas est candidat : c'est Uderzo qui doit être content ! Pour lui, le cadeau doit être royal... si on met pas la majuscule.
Quoi que, Royal avec la majuscule, ça fait quand même moins gauche...
M'enfin, puisqu'il faut que ce soit nous qui choisissions notre Président, autant qu'on ait du choix... Et qu'on nous donne du temps pour déchiffrer tous les verbiages après que les chroniqueurs nous les auront mâchés.
Encore que : vous en avez vu beaucoup des candidats de paroles, qui on fait une fois élus ce qu'ils disaient pour être élus...?
A part le Général qu'on est allé sortir de sa Boisserie de Colombey un jour que le Président élu n'arrivait plus à gouverner...
Encore qu'on peut pas tellement dire qu'il a fait ce qu'il avait dit qu'il allait faire puisqu'il l'avait pas dit...
Bon ! Croyez, réfléchissez et surtout prenez votre temps : des candidats, on nous en proposera encore, qui vont se partager ce que leur laissera le Pen après que Nicolas et Ségolène (j'allais mettre "Pimprenelle" comme dans le manège enchanté...) vont déjà se partager au premier rang.
Au premier rang...? Ca, on le saura qu'après le premier tour !