Dernier grillé...
Avant de partir...
Avant-hier, après être venu vous dire au-revoir et avant de charger la voiture, je nous ai fait un barbecue. Le dernier de mon coin de verdure de Champagne. Demain, je ferai le premier de Provence.
Déjà, je n'aurai pas la fausse modestie de vous taire la vérité : le barbecue de notre maison de l'Aube, le maçonné de briques réfractaires que j'ai pris en photo, c'est moi qui l'ai fait. Si ! Ah mais...
J'avais conçu l'avaloir en béton cellulaire. Sorte de matériau expansé pas plus lourd que le polystirène, qui se travaille facilement : erreur ! Cela ne supporte ni la trop grande chaleur ni le gel de l'hiver. Cela refuse la peinture qui l'aurait protègé des infiltrations de l'automne et n'en fait qu'à sa tête. Mon "éponge bétonnière" s'est gorgée de temps d'humidité, qu'à l'instar de la grenouille qui se voulait devenir boeuf, il a éclaté de gel un hiver : une horreur !
Au point qu'il m'a fallu, l'été dernier, trouver une solution.
Voyez le résultat. N'est-il pas mignon, cet espèce de clocheton tronqué que l'on dirait garni d'ardoises...?
Moi, j'en suis très fier !
C'est un revètement bitumé que j'ai fixé-collé sur un contreplaqué, lui même rivé à mon "erreur maçonnée".
Ca lui fait un parapluie qui le protège...
Sur la grille du foyer, deux brochettes d'agneaux, goûteuses de piments rouges et verts, de poitrine de porc fumée et d'herbes du jardin...
Et comme chez les plus grands Chefs, les assiettes seront chaudes.
On dirait les vacances commencées.
Avant-hier, après être venu vous dire au-revoir et avant de charger la voiture, je nous ai fait un barbecue. Le dernier de mon coin de verdure de Champagne. Demain, je ferai le premier de Provence.
Déjà, je n'aurai pas la fausse modestie de vous taire la vérité : le barbecue de notre maison de l'Aube, le maçonné de briques réfractaires que j'ai pris en photo, c'est moi qui l'ai fait. Si ! Ah mais...
J'avais conçu l'avaloir en béton cellulaire. Sorte de matériau expansé pas plus lourd que le polystirène, qui se travaille facilement : erreur ! Cela ne supporte ni la trop grande chaleur ni le gel de l'hiver. Cela refuse la peinture qui l'aurait protègé des infiltrations de l'automne et n'en fait qu'à sa tête. Mon "éponge bétonnière" s'est gorgée de temps d'humidité, qu'à l'instar de la grenouille qui se voulait devenir boeuf, il a éclaté de gel un hiver : une horreur !
Au point qu'il m'a fallu, l'été dernier, trouver une solution.
Voyez le résultat. N'est-il pas mignon, cet espèce de clocheton tronqué que l'on dirait garni d'ardoises...?
Moi, j'en suis très fier !
C'est un revètement bitumé que j'ai fixé-collé sur un contreplaqué, lui même rivé à mon "erreur maçonnée".
Ca lui fait un parapluie qui le protège...
Sur la grille du foyer, deux brochettes d'agneaux, goûteuses de piments rouges et verts, de poitrine de porc fumée et d'herbes du jardin...
Et comme chez les plus grands Chefs, les assiettes seront chaudes.
On dirait les vacances commencées.